SNJ

Sur le site web du Syndicat National des Journalistes (SNJ), on peut lire

« C’est dans ces conditions qu’un  journaliste digne de ce nom

Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique… ce qui élimine déjà bon nombre de « professionnels »

Tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, l’altération de documents, la déformation des faits, le détournement d’images, le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non vérification des faits, pour les plus graves dérives professionnelles…ce qui élimine  ipso facto Franck Johannès,  journaliste au Monde qui préfère se coucher devant les faits plutôt que de les divulguer, protégeant ainsi escrocs, juges consulaires (Tribunaux de commerce), magistrats et politiciens corrompus.

C’est sans doute sur ordre de ses supérieurs qu’il se tait quand je lui apporte sur un plateau d’argent les innombrables preuves de la corruption au sein du Ministère Français de la Justice et de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, mais avait-il obligation d’obéir ? Je ne crois pas, non.

Pauvre journal qui compte aussi dans ses rangs une directrice hors pair, Nathalie Nougayrède la « grand reporter », infoutue de donner un droit de réponse au contradicteur que je suis, et Gérard Davet, écrivain pugnace qui n’hésite pas à s’en prendre à la corruption avec un titre fracassant « French Corruption ». Nom de bleu.

Paroles, paroles, paroles, comme le chantait Dalida.

Ils auront bonne mine, ces journalistes, quand mon affaire éclatera au grand jour !

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