Les juges des tribunaux de commerce ou juges consulaires déclarent la main sur le coeur :
« Je jure de bien et fidèlement remplir mes fonctions, de garder religieusement le secret des délibérations et de me conduire en tout comme un juge digne et loyal ».
Pour les magistrats, c’est tout aussi profondément émouvant :
« Je jure de bien et fidèlement remplir mes fonctions, de garder religieusement le secret des délibérations et de me comporter en tout comme un digne et loyal magistrat ».
Vous aurez donc noté, en lisant mes précédents billets, avec quelle dignité et quelle loyauté juges et magistrats ont traité mon affaire. Loyauté envers les escrocs et les copains corrompus, (in) dignité dans la prise de décisions prises à mon encontre.
Les ministres de la justice successifs n’ont rien à envier à leurs « subordonnés » : Michel Mercier, sous Sarkozy, a refusé de s’en prendre aux magistrats corrompus que je lui désignais alors que dans un même temps il poursuivait, pour des broutilles, le juge d’instruction Patrick Ramaël près le Conseil Supérieur de la Magistrature. Christiane Taubira, sous Hollande, traitait mes demandes de sanction contre ces mêmes magistrats avec le plus grand mépris.
Et ces grands naïfs, forts de leur pouvoir qu’ils croient divin, s’imaginent qu’ils vont me terrasser. Ma société avait pour nom DEUS, et je crois savoir par ce dernier que « qui sème le vent récolte la tempête »… et le tsunami qui va avec.