République et Démocratie

Adhérent à Mediapart,  j’ai envoyé un commentaire sur la soirée du 18 décembre 2013 qui permettra pendant deux heures à tous les citoyens qui le désirent, adhérents ou non,  de dialoguer avec notre inestimable ministre de l’injustice, Christiane Taubira.

Et alors que j’y dénonçais les manquements à l’honneur et à la probité de cette dernière, sa complicité avec des escrocs et des corrompus de son ministère, preuves à l’appui, ne voilà-t-il pas que la rédaction de ce Média d’investigation -pour moi de collaboration- me fait part de sa dépublication, autrement dit de sa censure.

Mediapart se présente comme un journal indépendant. Douce rigolade. Edwy Plenel, gonflé de certitudes, faire le cake sur les plateaux de télévision, se présentant comme le chevalier blanc de l’information par internet : paraître, il sait. Mais être, il ne connait pas.

Nombreux sont les adhérents qui fustigent son comportement dictatorial. Mais monsieur s’en moque, croyant qu’il va pouvoir encore pendant longtemps tromper son monde. Grossière erreur car on ne peut rien contre la vérité. Et plus celle-ci sera délivrée, plus il aura du mal à se faire entendre. La valeur de son fonds de commerce commencera alors à  fondre à vue d’oeil.

Après la Haute Autorité pour la Trahison (HAT), Hollande Ayrault et Taubira (HAT encore) ont décidé de mettre en place la Haute Autorité pour la Transparence (HAT enfin).

Et Jean-Louis Nadal, futur président de ce « machin » -comme dirait de Gaulle-, ne s’est pas présenté devant députés et sénateurs sans biscuits.

« Je tiens à rassurer. Je ne suis pas pour l’inquisition, pas pour l’accusation. La suspicion qu’on porte en vous me paraît injuste ».

Traduction : les Français sont des cons.

« J’irai plus loin que la présomption d’innocence. Ce sera la présomption de bonne foi »

Traduction : votre bonne foi remplacera la loi.

« Il peut y avoir des fautes sans qu’il y ait de fautifs. »

Traduction : Vous serez responsables mais pas coupables.

Et comme il se doit, les fidèles journalistes  de tous médias, braves toutous,  vont se taire. On ne va quand même pas faire de peine au pouvoir en place au risque de perdre son emploi. On ne va quand même pas avancer de critiques au risque de ne plus voyager gratuitement avec les politiques, de ne plus avoir de petits cadeaux ou de breloques.

Sûr que Mediapart va faire un méchant papier sur cette mascarade.

Trop de hâte car Nadal pour que dalle , finalement !

Sur le site web du Syndicat National des Journalistes (SNJ), on peut lire

« C’est dans ces conditions qu’un  journaliste digne de ce nom

Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique… ce qui élimine déjà bon nombre de « professionnels »

Tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, l’altération de documents, la déformation des faits, le détournement d’images, le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non vérification des faits, pour les plus graves dérives professionnelles…ce qui élimine  ipso facto Franck Johannès,  journaliste au Monde qui préfère se coucher devant les faits plutôt que de les divulguer, protégeant ainsi escrocs, juges consulaires (Tribunaux de commerce), magistrats et politiciens corrompus.

C’est sans doute sur ordre de ses supérieurs qu’il se tait quand je lui apporte sur un plateau d’argent les innombrables preuves de la corruption au sein du Ministère Français de la Justice et de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, mais avait-il obligation d’obéir ? Je ne crois pas, non.

Pauvre journal qui compte aussi dans ses rangs une directrice hors pair, Nathalie Nougayrède la « grand reporter », infoutue de donner un droit de réponse au contradicteur que je suis, et Gérard Davet, écrivain pugnace qui n’hésite pas à s’en prendre à la corruption avec un titre fracassant « French Corruption ». Nom de bleu.

Paroles, paroles, paroles, comme le chantait Dalida.

Ils auront bonne mine, ces journalistes, quand mon affaire éclatera au grand jour !

« Il y a trop de victimes du racisme », a jugé Jean-Marc Ayrault mercredi 30 octobre.

« Trop de nos concitoyens sont victimes de racisme, d’antisémitisme ou de condamnation de leur religion, ces actes sont inacceptables ». Et la guyanaise de service de se réjouir.

Mais quand vous, Premier Ministre, protégez avec votre Président et votre garde des sceaux complices, escrocs, juges consulaires et magistrats corrompus, n’est-ce pas inacceptable ?

« Quand des parents amènent leurs enfants à commettre de tels actes, c’est la République qu’on assassine ».

Mais quand vous, Premier Ministre, violez ainsi avec votre Président et votre garde des seaux complices les droits d’un citoyen justiciable pour protéger des salauds,  C’EST DEUS QUE VOUS ASSASSINEZ !

Vous m’avez fait perdre ma société bien nommée, 106 000 euro, mes salaires, partie de ma retraite et plus de 10 ans de ma vie. Je vous le ferai donc payer comme aux autres au prix fort, soyez en certain.

« La France est un état de droit », aimez-vous a répéter. Justement !

Mercredi 23 Octobre 2013, 66 députés « de gauche » ont voté pour la taxation des épargnants disposant de livrets A, de PEL ou de PEA….alors que 22 députés « de droite » ont voté contre.

Et l’UMP de crier au loup !

De qui se moque-t-il,  ce parti de godillots ? Pourquoi  n’a-t-il envoyé que 22 soldats au front ? Sans aucun doute pour laisser passer cet amendement qui arrange tout le monde. Comme le disait si bien Coluche « Il y en a un qui pèle les oignons et l’autre qui pleure ».

Ces politiciens  ne méritent qu’une chose, la poubelle de l’histoire.

French Corruption est un livre que viennent de sortir Gérard DAVET -journaliste au Monde- et Francis Lhomme.

Interrogé par France Inter à 7 h 40 ce Mercredi 9 Octobre 2013, Gérard Davet a montré combien il était difficile de lutter contre ce fléau, tant les blocages sont nombreux…

A commencer dans son propre quotidien en la personne de Franck JOHANNES et de ses supérieurs qui, alors que je leur avais donné, comme lançeur d’alerte, une affaire d’état de la plus haute importance, ont préféré se coucher pour protéger  juges consulaires, magistrats et politiciens corrompus, en me conseillant bien entendu de tourner la page.

Le Monde avait déjà publié une liste de magistrats « combattants de la première heure » contre ce système parfaitement anti démocratique, j’en avais contacté quelques uns. Je n’ose vous dire les kilogrammes de courriers qu’ils m’ont fait parvenir (rire). Transparency International  France se tait, Anticor m’écrit qu’il faut y aller « à pas mesurés », etc, etc…

Et ces faibles voudraient nous faire croire qu’ils veulent changer les règles. Il ne faut pas les croire, ne pas les écouter et surtout ne pas les financer.

Qu’ils viennent me voir et croisent mon regard. Je leur dirai deux mots.